LIVRE



Préface

L’époque contemporaine. C’est l’ère dans laquelle nous vivons, la période qui va de la révolution française en 1875 ; au vingtième siècle avec les deux guerres mondiales, les indépendants des Etats africains de colonisateurs, la découverte du virus d’Ébola en 1976 en République démocratique du Congo, les massacres et génocides, la révolution de l’informatique, etc. Tous ces faits ont marqué d’une certaine manière ou d’une autre notre époque de l’histoire.

Des millions des personnes ont perdus la vie aux files des années. Certaines dizaines de milliers sont mortes martyrs sans jamais été retrouvées par leurs proches ;d’autres leurs corps n’ont jamais été touchés aux funérailles, cas d’Ébola en Afrique de l’ouest avec plus de onze mille morts et en République démocratique du Congo. Beaucoup d’entre eux restent oublier – jusqu’à nos jour – et plus personne ne parlera d’eux. Ils servent malheureusement qu’accroitre les chiffres symboliques de victimes que l’histoire retiendra pour toujours.

Les gens ou les faits ? C’est une question que nous devons nous poser. J’aurai aimé être Barack Obama, le premier afro-américain de diriger les États-Unis d’Amérique ; j’aurai aimé être Léopold Cedar Senghor, pour que l’histoire me reconnait comme père de la littérature africain ; J’aurai aimé vivrai pendant le règne de Mobutu au Zaïre, dans le puissant état africain de son époque. Mais je n’aurai jamais voulu être atteint d’un virus mortel que je serai soigné dans une hutte isoloir où y sortir guéri est un miracle.

L’Ébola… Nouveau dans l’histoire de l’humanité. Originaire d’Afrique subsaharienne, ce virus agent infectieux provoque chez l’homme et les autres primates une hémorragie importante et une défaillance des organes, et peut entraîner la mort. A chaque fléau, des dizaines de personnes périssent avant d’avoir les premiers survivant. Très abominable.

A travers le monde, plus d’une dizaine organisations se sont données dans une campagne pour lutter contre l’Ébola dont le bénéficiaire est l’humanité entière. On a par-ci par-là dans certaines régions entendu du « numéro vert », pour alerter d’un cas de maladie.

La lutte est continuelle pour tout un peuple qui s’engage. Dans une région dans laquelle l’eau et l’électricité restent encore un grand problème au développement, les gouvernements se démènent pour y en résoudre au moins au niveau de frontières.

A l’entrée tout comme à la sortie, la première chose a fait est de se laver les mains à une fontaine électrique ou un robine jaillissant du chlore pour désinfection et une personne est là pour prendre la température du corps. Une contrainte qui mène les passagers de se mouiller les mains avant de franchir la barrière.

Généralement, les medias en ont intégralement parlé pour révéler au reste du monde de l’existence de ce virus qui n’a pas encore de traitements spécifiques. Des livres seront écrits pour raconter l’histoire de ce virus et la situation dans laquelle de gens vivaient à cet époque aux générations futures.

A part son historique, le moyen de traitement et de prévention, qu’es ce qu’elles aimeraient encore savoir ? Ce récit basé sur l’histoire de toute une famille victime de cet horrible pathogène va peut-être vous inspirer du fait réel que vivaient les autres familles et de personne pourvues dans la même situation. Un membre après l’autre succombait jusqu’au derrière qui, par miracle, a survécu à ce tragédie.

Ce n’est pas seulement être malade l’enfer à vivre à cause de ce virus. Publiquement faire objet d’une inquiétude lorsque des gens découvres que tu viens d’un entourage où un cas déjà signalé, plus pire encore quand c’est l’un de la famille ou soi-même.

Les proches auxquels on peut compter coupent tous les liens avec vous, au quartier les voisins commencent à vous éviter… Au fait, plus personne ne veut pas de vous. C’est le début d’une autre expérience de vie.

La souffrance peut faire vivre quelqu’un le moment inoubliable de toute sa vie, lui permettre de se souvenir de qui il est, de toutes ces personnes qu’il aime. Elle permet de voir le monde autrement. C’est le temps de découvrir les vrais amis et passer le moment qu’ils se souviendront de son existence. Au final de tout, car une personne ne vivra toute une éternité sur terre, emprunter le chemin que tout être ayant une vie est sensé passer, la mort.

L’histoire retiendra qu’il a existé un virus appelle Ébola, les organisations et personnalités clés dans sa riposte, le nombre de décès et celui de ceux qui survivront. C’est bien ça que celui qui se trouve dans un centre de traitement d’Ébola, sans espoir qu’en sortie vivant, se dit.

Lui qui a goutée à une souffrance qu’aucun humain ne peut envisager, dans sa déception a connu de frères et sœurs et les voir mourir, il aimerait que les autres savaient ceux qui les attendent s’ils sont contaminés, qu’ils n’aient pas peur de lutter avec ceux qui lutter déjà, qu’ils compatissaient avec les malades en les donnant plus d’amour possible.


Détails sur le produit


Titre :                               EBOLA
Sous-titre :                       Et maintenant, ils ne feront que parler de cette victoire
Auteur :                           Amini Cishugi
Date de publication :      13 decembre 2020
Nombre de page :           106 (physique) et 70 (eBook)
Prix                               24,5 $ (physique) et 9,99 $ (eBook)
ISBN :
ASIN :                             B08QFVCCSC
Serie :                              Le monde aujourd'hui

APROPOS DE L'AUTEUR

Amini Cishugi, de son nom complet Henri Amini Cishugi, est un écrivain, vidéaste web et blogueur congolais. Né le 13 juillet 1996 à Bukavu dans l'est de la République démocratique du Congo durant la première guerre du Congo, il est fils d'homme d'affaires congolais Raphael Cishugi (né le 04 juin 1967 et mort le 21 juin 2018) et de Georgine Nyahengwa. À l'âge de 18 ans, il fait un autopublication sur Wattpad de ses premiers textes écrits depuis 2012. Amini Cishugi, beaucoup connu pour ses vidéos blogs publiées sur YouTube depuis 2016, est auteur de sept livres.